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iris rouge
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Gerard Raffaelli : Touraine :
Mar 26 Mar 2013, 14:08
Je confirme. J'ai aussi l'impression que mes "vieux" sont plus "rouges" que certains nouveaux que j'ai achetés. J'ai été un peu déçu par le rendu de 'Saturday Night Live'. Mais c'était sa première floraison. En outre, les "rouges" ne sont pas ceux qui m'attirent le plus, alors je serais peut-être mauvais juge.
sylvain : :
Mar 26 Mar 2013, 22:10
Mes plus beaux rouges :
- Vitafire, chez les anciens;
-New Centurion pour les plus récents.
C'est des rouges vraiment rouges.
- Vitafire, chez les anciens;
-New Centurion pour les plus récents.
C'est des rouges vraiment rouges.
Martin Balland : Saint Dié Des vosges(Nord est) 
:
Ven 12 Avr 2013, 10:02
A la prochaine floraison, je vous donnerai la liste de mes iris qui font 'vraiment rouge'
Astier Francis : grezelade lanzac lot querçy :
Lun 15 Avr 2013, 16:33
ggjp a écrit:
mdr! j'attend 
tu as aussi rubis star (iris de provence)
Astier Francis : grezelade lanzac lot querçy :
Lun 15 Avr 2013, 16:50
Loïc a écrit:
Merci de partager Jean-Claude, ça fait avancer tout le monde!
à propos de la couleur rouge dont beaucoup sont friands je pense qu'il faut quand même préciser que l'iris à fleur rouge n'existe pas vraiment, car la Pélargonidine responsable de la coloration rouge n'existe pas dans les cellules de la plante, a moins d'une mutation permettant la synthèse de ce pigment.(propos relevé dans le livre de Richard Cayeux L'IRIS une fleur royale ) j'attends des commentaires à ce sujet. Francis
Gerard Raffaelli : Touraine :
Lun 15 Avr 2013, 22:51
Richard Ernst a essayé d'introduire le gène porteur du pigment pelargonidine dans l'iris et ce fut un échec pour une raison toute simple mais qui demande un long développement pour une comprehension facile. Dans quelque temps sur le futur "blog" de la SFIB…
Quelques éléments rur les pigments dans cet ouvrage (extraits) : http://books.google.fr/books?id=i9vvtEn8EcUC&pg=PA56&lpg=PA56&dq=pelargonidine+et+genetique&source=bl&ots=45mmz2rHld&sig=iX3A7KReZXsITpxHbuFTjdBTU-k&hl=fr&sa=X&ei=85ZyUYK0J8-EhQew1oGwDg&ved=0CDsQ6AEwAg#v=onepage&q&f=false
Quelques éléments rur les pigments dans cet ouvrage (extraits) : http://books.google.fr/books?id=i9vvtEn8EcUC&pg=PA56&lpg=PA56&dq=pelargonidine+et+genetique&source=bl&ots=45mmz2rHld&sig=iX3A7KReZXsITpxHbuFTjdBTU-k&hl=fr&sa=X&ei=85ZyUYK0J8-EhQew1oGwDg&ved=0CDsQ6AEwAg#v=onepage&q&f=false
Dernière édition par Gerard Raffaelli le Sam 20 Avr 2013, 15:25; édité 1 fois
Astier Francis : grezelade lanzac lot querçy :
Mar 16 Avr 2013, 17:41
Gerard Raffaelli a écrit:
Richard Ernst a essayé d'introduire le gène porteur du pigment pelargonidine dans l'iris et ce fut un échec pour une raison toute simple mais qui demande un long développement pour une comprehension facile. Dans quelque temps sur le futur "blog" dela DFIB
OK Gérard :merci pour cette précision ,il me tarde d'en savoir un peu plus. (Francis)
tromeal : 29N :
Mer 17 Avr 2013, 8:01
Bonjour,
La pélargonidine n'existe pes actuellement chez les iris, mais on peut rêver qu'une mutation naturelle puisse la faire apparaître.
Ceci s'est déjà produit chez les rosiers. dans las années 1930, un rosiériste allemend, W. kordes, découvrit parmi ses semis de rosiers une plante d'un rouge plus vif que ce qu'il connaissait. Il fit procéder à des analyses et découvrit un pigment inconnu jusque là dans le monde des rosiers: la pélargonidine.
Il fit réaliser les mêmes analyses sur les parents de ce rosier, et découvrit que l'un de parents, Gloria Mundi (De Ruyter, 1929) était également porteur du pigment. Ce rosier était une mutation naturelle(sport) de Superb (De Ruyter 1927), lui-même mutation de Orange King (De Ruyter 1922). Tous ces rosiers étaient porteurs de la pélargonidine. Par contre, ce pigment est absent chez les parents de Orange King.
( Ces informations sont extraites du livre "Roses et Jardins" de Marie Thérèse Haudebourg, édité par Hachette en 1995).
On peut don rêver qu'une telle mutation puisse intervenir chez les iris; il faut toutefois prendre en compte le nombre de croisements réalisés dans chacune des 2 espèces: quand les plus grands obtenteurs de rosiers sèment entre 100 000 et 1 millon de graines par ans, les hybrideurs de rosiers en sèment entre 15 000 et 20 000. La probabilité de voir apparaître le phénomène est donc sans doute plus faible.
Des mutations naturelles se sont néanmoins déjà produites chez les iris: dans le N° 129 (1999) de "Iris et Bulbeuses" , J.P. Baufils , chercheur à l'Université de Montpellier fait état de la découverte d'un nouvel iridal chez l'iris Rococo. (iridal= molécule produite notamment par les iris et utilisable en parfumerie).
Tout espoir est donc permis.
Jean Claude jacob
La pélargonidine n'existe pes actuellement chez les iris, mais on peut rêver qu'une mutation naturelle puisse la faire apparaître.
Ceci s'est déjà produit chez les rosiers. dans las années 1930, un rosiériste allemend, W. kordes, découvrit parmi ses semis de rosiers une plante d'un rouge plus vif que ce qu'il connaissait. Il fit procéder à des analyses et découvrit un pigment inconnu jusque là dans le monde des rosiers: la pélargonidine.
Il fit réaliser les mêmes analyses sur les parents de ce rosier, et découvrit que l'un de parents, Gloria Mundi (De Ruyter, 1929) était également porteur du pigment. Ce rosier était une mutation naturelle(sport) de Superb (De Ruyter 1927), lui-même mutation de Orange King (De Ruyter 1922). Tous ces rosiers étaient porteurs de la pélargonidine. Par contre, ce pigment est absent chez les parents de Orange King.
( Ces informations sont extraites du livre "Roses et Jardins" de Marie Thérèse Haudebourg, édité par Hachette en 1995).
On peut don rêver qu'une telle mutation puisse intervenir chez les iris; il faut toutefois prendre en compte le nombre de croisements réalisés dans chacune des 2 espèces: quand les plus grands obtenteurs de rosiers sèment entre 100 000 et 1 millon de graines par ans, les hybrideurs de rosiers en sèment entre 15 000 et 20 000. La probabilité de voir apparaître le phénomène est donc sans doute plus faible.
Des mutations naturelles se sont néanmoins déjà produites chez les iris: dans le N° 129 (1999) de "Iris et Bulbeuses" , J.P. Baufils , chercheur à l'Université de Montpellier fait état de la découverte d'un nouvel iridal chez l'iris Rococo. (iridal= molécule produite notamment par les iris et utilisable en parfumerie).
Tout espoir est donc permis.
Jean Claude jacob
lisa : Tarn :
Mer 17 Avr 2013, 12:34
merci pour ce petit cours très passionnant.... reste à trouver qui est l'iris porteur de ce pigment..... parmi les milliers d'iris existants, je pense qu'on va encore chercher longtemps, surtout que le porteur n'a peut-être rien à voir avec les pseudo rouges actuels!
Ah Ah! sacré 'Rococo'! qui sent si bon!! voilà pourquoi....
Ah Ah! sacré 'Rococo'! qui sent si bon!! voilà pourquoi....
Astier Francis : grezelade lanzac lot querçy :
Mer 17 Avr 2013, 16:00
tromeal a écrit:
Bonjour,
La pélargonidine n'existe pes actuellement chez les iris, mais on peut rêver qu'une mutation naturelle puisse la faire apparaître.
Ceci s'est déjà produit chez les rosiers. dans las années 1930, un rosiériste allemend, W. kordes, découvrit parmi ses semis de rosiers une plante d'un rouge plus vif que ce qu'il connaissait. Il fit procéder à des analyses et découvrit un pigment inconnu jusque là dans le monde des rosiers: la pélargonidine.
Il fit réaliser les mêmes analyses sur les parents de ce rosier, et découvrit que l'un de parents, Gloria Mundi (De Ruyter, 1929) était également porteur du pigment. Ce rosier était une mutation naturelle(sport) de Superb (De Ruyter 1927), lui-même mutation de Orange King (De Ruyter 1922). Tous ces rosiers étaient porteurs de la pélargonidine. Par contre, ce pigment est absent chez les parents de Orange King.
( Ces informations sont extraites du livre "Roses et Jardins" de Marie Thérèse Haudebourg, édité par Hachette en 1995).
On peut don rêver qu'une telle mutation puisse intervenir chez les iris; il faut toutefois prendre en compte le nombre de croisements réalisés dans chacune des 2 espèces: quand les plus grands obtenteurs de rosiers sèment entre 100 000 et 1 millon de graines par ans, les hybrideurs de rosiers en sèment entre 15 000 et 20 000. La probabilité de voir apparaître le phénomène est donc sans doute plus faible.
Des mutations naturelles se sont néanmoins déjà produites chez les iris: dans le N° 129 (1999) de "Iris et Bulbeuses" , J.P. Baufils , chercheur à l'Université de Montpellier fait état de la découverte d'un nouvel iridal chez l'iris Rococo. (iridal= molécule produite notamment par les iris et utilisable en parfumerie).
Tout espoir est donc permis.
Jean Claude jacob
un grand merci a toi Jean-Claude pour ce développé sur la mutation possible du rouge pur,je pense que nous pouvons continuer à rêver avant de le voir surgir. remarque il paraîtrait que les hollandais cherche depuis longtemps à obtenir une rose bleue alors!!!! Francis AstierLa pélargonidine n'existe pes actuellement chez les iris, mais on peut rêver qu'une mutation naturelle puisse la faire apparaître.
Ceci s'est déjà produit chez les rosiers. dans las années 1930, un rosiériste allemend, W. kordes, découvrit parmi ses semis de rosiers une plante d'un rouge plus vif que ce qu'il connaissait. Il fit procéder à des analyses et découvrit un pigment inconnu jusque là dans le monde des rosiers: la pélargonidine.
Il fit réaliser les mêmes analyses sur les parents de ce rosier, et découvrit que l'un de parents, Gloria Mundi (De Ruyter, 1929) était également porteur du pigment. Ce rosier était une mutation naturelle(sport) de Superb (De Ruyter 1927), lui-même mutation de Orange King (De Ruyter 1922). Tous ces rosiers étaient porteurs de la pélargonidine. Par contre, ce pigment est absent chez les parents de Orange King.
( Ces informations sont extraites du livre "Roses et Jardins" de Marie Thérèse Haudebourg, édité par Hachette en 1995).
On peut don rêver qu'une telle mutation puisse intervenir chez les iris; il faut toutefois prendre en compte le nombre de croisements réalisés dans chacune des 2 espèces: quand les plus grands obtenteurs de rosiers sèment entre 100 000 et 1 millon de graines par ans, les hybrideurs de rosiers en sèment entre 15 000 et 20 000. La probabilité de voir apparaître le phénomène est donc sans doute plus faible.
Des mutations naturelles se sont néanmoins déjà produites chez les iris: dans le N° 129 (1999) de "Iris et Bulbeuses" , J.P. Baufils , chercheur à l'Université de Montpellier fait état de la découverte d'un nouvel iridal chez l'iris Rococo. (iridal= molécule produite notamment par les iris et utilisable en parfumerie).
Tout espoir est donc permis.
Jean Claude jacob
Joséphine85 : Sud vendée :
Ven 19 Avr 2013, 8:18
j'ai lu quelque part qu'aux usa des chercheurs essaient d'introduire ce gèn e dans les iris mais rien dans l'immédiat: après le mais transgénique l'iris transgénique 
Jean-Luc Gestreau : Sigogne Jarnac Charente :
Sam 20 Avr 2013, 9:19
Mes premiers semis 2011 issus de croisements de SDB commencent à fleurir et bonne surprise j'en ai un qui est tres prometteur pour la couleur, hier en plein soleil il paraissait assez "rouge" ..... j'attends avec impatience ses freres de semis et les autres aussi bien sûr.
Boris Daniel : Chabeuil Drôme :
Sam 20 Avr 2013, 13:39
c'est vrai qu'entre les rouges de "New Centurion", "Regimen" ou "Rubistar" d'un côté et les rouges de"Rip City", 'Ransom Note", "Lady Friend" ou "Fashion Diva " de l'autre il y a plus que des nuances de tonalité.
Alors, quand vous dîtes ROUGE, de quoi parlez-vous?
Complètement désorienté devant une question aussi existentielle, je vais m'en servir un petit ballon.
A la vôtre!
Alors, quand vous dîtes ROUGE, de quoi parlez-vous?
Complètement désorienté devant une question aussi existentielle, je vais m'en servir un petit ballon.
A la vôtre!
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