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Joséphine85 |
Posté le: Mer 11 Juil 2012, 7:44 Sujet du message: |
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Gerard Raffaelli |
Posté le: Mar 10 Juil 2012, 13:13 Sujet du message: |
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Suggestion pour suggestion, il serait bien aussi que le posteur utilise la fonction "recherche" du site (en bas à gauche) pour voir si la réponse n'a pas déjà été apportée.
De même, parcourir la liste des posts peut-être utile, car les mêmes questions reviennent très souvent.
C'est pourquoi certaines réponses peuvent paraître lapidaires, mais quand on y a déjà répondu 10 fois…
En outre, parcourir les différentes rubriques du forum est très enrichissant, car elles fourmillent d'expériences multiples et par ce temps d'automne cela permet de passer un bon moment. |
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Joséphine85 |
Posté le: Mar 10 Juil 2012, 11:15 Sujet du message: |
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Merci,
En voilà des réponses inédites et précises comme je les aime. Avouez que c'est mieux que "supprimer les hampes fleuries".
Dommage que ce n'est pas souvent le cas. Les réponses sont souvent faîtes, comme si le questionneur connaissait déjà tout ou partie de la réponse. Je suggère que l'on réponde comme si le posteur ne savait rien. |
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Gerard Raffaelli |
Posté le: Lun 09 Juil 2012, 10:25 Sujet du message: |
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En effet. Mais ça ne marche pas à tous les coups, notamment quand la tige est "malade". Auquel cas, le sécateur est le seul recours. A désinfecter (javel) entre chaque usage |
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ROLAND |
Posté le: Lun 09 Juil 2012, 9:58 Sujet du message: |
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Plutot que couper, il vaut mieux casser en excercant une pression sur la tige qui se casse au ras du rhyzome. C'est beaucoup plus rapide et plus sûr au niveau sanitaire. |
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Gerard Raffaelli |
Posté le: Lun 09 Juil 2012, 8:57 Sujet du message: |
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Tout ! Au niveau du rhizome.
Mais ne pas couper les feuilles des pousses nouvelles, sauf si ellles sont très tachées |
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Joséphine85 |
Posté le: Lun 09 Juil 2012, 8:11 Sujet du message: |
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Merci.
A quelle distance du rhizome doit-on couper? Les feuilles du rhizome ayant fleuri aussi? |
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Gerard Raffaelli |
Posté le: Dim 08 Juil 2012, 11:50 Sujet du message: |
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Quand elle est complètement dessechée, certes !
Mais les autres raisons sont valables (et pour ce qui est de la pourriture, surtout avant qu'elle ne sèche). |
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Joséphine85 |
Posté le: Dim 08 Juil 2012, 11:35 Sujet du message: |
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Je comprends qu'une hampe chargée de capsules "tire" sur le rhizome mais une hampe sans capsule? |
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Gerard Raffaelli |
Posté le: Dim 08 Juil 2012, 11:10 Sujet du message: |
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Pour plusieurs raisons:
- esthétique certes : les hampes défleuries, c'est moche
- elles épuisent inutilement le rhizome mère
- elles risquent d'être une réserve à bactéries (à l'aisselle des feuilles où se conserve l'humidité)
En conséquence, on conseille de les couper le plus bas possible. Ce n'est pas infaillible aussi : surveiller la coupe. |
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Joséphine85 |
Posté le: Dim 08 Juil 2012, 10:32 Sujet du message: |
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pourquoi couper les hampes, à part l'hestétique? |
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Gerard Raffaelli |
Posté le: Mer 04 Juil 2012, 8:10 Sujet du message: |
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Pegase27 a écrit:
La cause principale restant bien sûr cette humidité extrême de l'air et du sol.
L'humidité n'est qu'un facteur de propagation et de multiplication de la bactérie.
Là où aucun nouvel iris n'a été introduit (dans notre jardin de Charente-Maritime ou dans celui de notre ancienne résidence en région parisienne), pas de pourriture. Comme il n'y a pas de génération spontanée, il faut bien que cette bactérie vienne de quelque part. |
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Pegase27 |
Posté le: Mar 03 Juil 2012, 23:03 Sujet du message: |
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je ne pense pas qu'on en vienne à bout. "L'iris est un plant rustique, qui se cultive sans problèmes" peut-on lire partout. Ca prête à sourire ... Plante facile elle l'était peut-être, mais elle ne l'est plus ! La pourriture du rhizome se déclare de partout : de la base des feuilles anciennes, elles-mêmes pourries par l'humidité, des hampes coupées, du collet, des parties souterraines... La cause principale restant bien sûr cette humidité extrême de l'air et du sol. |
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Gerard Raffaelli |
Posté le: Mar 03 Juil 2012, 20:32 Sujet du message: |
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C'est en effet troublant. Ce qui me surprend le plus, c'est le manque d'efficacité des mesures traditionnelles (javel = séchage au soleil). Après ce traitement la pourriture parfois repart. Il faudra bien réfléchir au pourquoi et tenter de trouver des solutions.
J'ai eu de la pourriture presque partout, dans des sols différents, dont certains n'ont pas vu d'engrais depuis au moins vingt ans.
Seule consolation (?) Les vieilles variétés (diploïdes) n'ont pas été contaminées. Il y a là matière à reflexion…
Bon courage André. On en viendra à bout ! |
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andré chalancon |
Posté le: Mar 03 Juil 2012, 18:21 Sujet du message: |
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Excuse-moi Gérard, j'avais mal interprété ta phrase, je viens de me rendre compte de mon erreur !!
Idem chez moi, j'ai du sacrifier une quarantaine de plants, tous les plus récents.........
et à mon avis, ça n'est pas encore fini !
Pourtant, je ne replante pas sur d'anciens massifs, je passe à la javel tout ce que je reçois et que j'envoie, et malgré ça, il y a du dégât..... |
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