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GABS GARDEN |
Posté le: Mer 11 Jan 2012, 18:25 Sujet du message: |
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Je pense que les travaux sur la génétique des iris de Tom Waters mériteraient d'etre traduits ....... |
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Gerard Raffaelli |
Posté le: Mar 10 Jan 2012, 23:05 Sujet du message: |
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Merci Gabs.
Très interessant ! |
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GABS GARDEN |
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CLUSIANA |
Posté le: Mar 10 Jan 2012, 20:44 Sujet du message: |
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Merci Thierry. Voilà un renseignement concret et un exercice toujours ouvert ! L'identification d'un iris peut être un chemin long et difficile. |
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lanthelme thierry |
Posté le: Mar 10 Jan 2012, 20:21 Sujet du message: |
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bonsoir Clusiana,
après vérification, la base du feuillage de notre iris inconnu n'est pas violette , ni pourpre.
les recherches reprennent...
à bientôt. |
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CLUSIANA |
Posté le: Ven 06 Jan 2012, 20:21 Sujet du message: |
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Je trouve l'idée d'Astorkan excellente et fiable.
Thierry avez vous vérifié la couleur de la base de votre iris ? |
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GABS GARDEN |
Posté le: Mar 03 Jan 2012, 21:14 Sujet du message: |
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Bonsoir ,
L'hybridation d'un diploide avec un tetraploide , ce n'est pas déja le résultat d'un croisement TB X SDB ????
Attention il y a aussi des tetraploides sauvages issus de trés anciennes hybridations naturelles / chez les non-barbus I. versicolor ......
@@@+++ Gabs |
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Astorkhan |
Posté le: Mar 03 Jan 2012, 20:54 Sujet du message: |
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Bonsoir à tous et bonne année.
J'ai été intrigué par ce problème de diploïdie/tétraploïdie. De fait, une numération des chromosomes serait la meilleure façon de procéder. Pourquoi ne pas proposer à une classe préparatoire à l'Agro de faire le travail en travaux dirigés de biologie végétale? Ce serait gratuit, et ça ferait un superbe projet pour eux!
Sinon, si vous avez le temps, le croisement avec un tétraploïde d'une part et avec un diploïde d'autre part permettrait d'y voir plus clair. Et s'il s'agit d'iris "sauvages", c'est-à-dire issus d'un "Beepod", il serait intéressant de voir les frères de semis.
Bonne soirée,
AK |
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sylvain |
Posté le: Mar 03 Jan 2012, 20:20 Sujet du message: |
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Je ne crois pas qu'il y ait eu de véritable recherche sur ce sujet, même aux USA. Le coût, sans doute, reste dissuasif. Seul Richard Ernst (paix à ses cendres) a entrepris une véritable étude génétique en collaboration avec l'Université de l'Oregon. Mais les résultats n'ont pas été communiqués et la tentative d'introduire des gênes de pélargonidine dans les iris de jardin en vue d'obtenir un iris absolument rouge a été un échec. |
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Gerard Raffaelli |
Posté le: Mar 03 Jan 2012, 10:43 Sujet du message: |
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Je suppose que cette question a dû être envisagée par les hybrideurs professionnels et particulièrement de l'autre coté de l'Atlantique. On pourrait peut-être le leur demander… |
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Jean-Luc Gestreau |
Posté le: Mar 03 Jan 2012, 10:40 Sujet du message: |
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SERAFINOWSKI Richard a écrit:
Jean-Luc Gestreau"]Donc bien qu'un retour à la diploïdie paraisse impensable partant de 2 cellules tétraploïdes, on ne peut pas non plus l'exclure.
Excusez le côté peut être saugrenu de ma question par rapport a ce que je considére comme une hypothese, mais celle ci ne peut elle point être étudiée voire vérifiée par des methodes de laboratoire ?[/quote]
Tout à fait, une analyse pour determiner le nombre de chromosomes est envisageable, mais à quel coût ? je n'en ai aucune idée mais je pense que ça ne doit pas être "donné" ...... |
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Richard SERAFINOWSKI |
Posté le: Mar 03 Jan 2012, 1:11 Sujet du message: |
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Jean-Luc Gestreau"]Donc bien qu'un retour à la diploïdie paraisse impensable partant de 2 cellules tétraploïdes, on ne peut pas non plus l'exclure.[/quote]
Excusez le côté peut être saugrenu de ma question par rapport a ce que je considére comme une hypothese, mais celle ci ne peut elle point être étudiée voire vérifiée par des methodes de laboratoire ? |
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lanthelme thierry |
Posté le: Lun 02 Jan 2012, 21:33 Sujet du message: |
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merci pour la précision, (l'anglais et moi ça fait 2).Si je me souviens bien, il me semble que la bas du feuillage est pourpre, mais je vérifierai car vous m'avez mis le doute.
pour nous, l'identification des variétés est rès importante, nous produisons des iris en godet pour des jardineries et pépinières et nous faisons réaliser des chromos avec nos propres photos, afin que les amateurs ne soient pas trompés sur la variété.
bonne soirée. |
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Jean-Luc Gestreau |
Posté le: Lun 02 Jan 2012, 14:35 Sujet du message: |
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Toute les possibilités sont envisageables en effet, lors de la rencontre des cellules mâle et femelle lors de la fécondation, le partage des chromosomes est théoriquement égal entre les cellules "filles" , mais c'est justement là ou la nature est bien faite, ceci n'est pas toujours le cas, d'ou l'évolution de la vie sur terre depuis des millions d'années ................ et heureusement sinon nous ne serions pas là pour en débattre
Donc bien qu'un retour à la diploïdie paraisse impensable partant de 2 cellules tétraploïdes, on ne peut pas non plus l'exclure. |
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Gerard Raffaelli |
Posté le: Lun 02 Jan 2012, 12:38 Sujet du message: |
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En effet Jean-Luc. C'est bien ce que je voulais dire, même si je l'ai mal exprimé. Tant de croisements font qu'on est loin des possibilités décrites et théorisées par Mendel à partir de lignées pures.
Compte tenu de la courte durée d'une 'génération' d'iris (deux ans), la possibilité d'accidents génétiques (de mutations en fait) est plus fréquente à l'échelle d'une vie d'hybrideur.
Pour autant, la question d'une éventuelle régression vers le type diploïde reste ouverte.
Et pour ce que j'ai pu constater, elle n'est pas un phénomène rare. J'ai observé plusieurs touffes d'iris de ce type dans mon champ un temps négligé. S'agit-il alors simplement de la réapparition de caractères anciens, sans modification de la configuration génétique (tétraploïdie) ou bien d'un retour à la diploïdie. Enfin peut-on imaginer qu'un croisement spontané entre une variété tétraploïde et un vieil iris diploïde dont le pollen aurait été apporté par un bourdon puisse produire un triploïde avec des caractéristiques de l'iris diploïde ?
Ce serait intéressant de connaître la réponse. Mais peut-être la question est-elle mal formulée. (mes cours de bio et de génétique sont un peu loin…) |
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