Extrait de : Abbé Noël Antoine Pluche, 1737, Le spectacle de la nature, ou entretiens sur les particularités de l'histoire naturelle qui ont paru les plus propres à rendre les jeunes-gens curieux et à leur former l'esprit. Tome 2.
Pour se souvenir d'une information ou bien pour la transmettre.
Les circonstances sont multiples : garder l'identité de graines qui seront semées ultérieurement, identifier les variétés de bulbes pendant leur entreposage avant de les replanter, se souvenir de ce que l'on a planté dans tel pot ou à telle place du jardin à la saison où le bulbe n'a plus de feuillage, identifier les semis durant leur croissance, transmettre des informations lorsque l'on donne une plante, etc.
Papier, adhésif, carton. Ou écrire directement sur l'enveloppe ou l'emballage. Au crayon de papier.
Étiquettes provisoire pour transmettre l'identité d'une plante que l'on donne.
Carton, bois blanc... Écrire avec un crayon de papier pointe grasse (non délavé par l'eau de l'arrosage).
Possibilité d'écrire le nom sur le pot de plastique noir avec un marqueur blanc.
Étiquettes pour des semis...
Bois blanc (récupération de cagettes en bois...). Crayon gras.
Plastique : divers modèles dans le commerce
(ou récupération d'emballages plastiques découpés, emballage de laitage...).
Utilisation d'un stylo marqueur "indélébile" spécial pour l'écriture sur plastique.
Possibilité de marquer sur l'étiquette un simple numéro au marqueur,
l'identité de la plante correspondante étant consignée dans un cahier.
L'étiquette sera ainsi réutilisable sans devoir "effacer l'encre indélébile".
Étiquettes pour le jardin ou pour les potées.
Bois dur pyrogravé verni, teck...
Tôle d'aluminium ou de zinc (aussi : récupération de lames de store, découpées en segment de 15cm). Inscription à l'aide de marques alphanumériques à frapper et de marteau, ou bien à la peinture.
Ardoise, pierres, galets. Marquage à la peinture blanche.